mercredi 18 avril 2007

web CAMcanal

Notre date de transit sur le canal est fixe a priori le 2 mai.
Sur le site suivant vous pouvez observer differentes vues du canal reactualiser toutes les 10 secondes... (application Java)

http://www.pancanal.com/eng/photo/camera-java.html

Panama city




Ferdinand le Grand Français, comme on l’appelait à l’époque. Malgré ce que prétendent nos amis américains, c’est bien lui le père du canal, dernières infos prises.






















Une bougie de plus

Et encore un anniversaire : le petit Nicolas a 23 ans aujourd’hui 14 avril. Ajoutez cela à une première nuit à terre depuis de longues semaines sans alcool (épreuve particulièrement difficile pour le foie d’un douarneniste…), et voilà le travail !



Canal en vu

Après la première nuit au mouillage de Flamenco, nous laissons la brise naissante de l’après midi nous porter lentement vers les bouées de Balboa Yacht Club. Dans le fond, le Puente de las Americas , passerelle entre les deux Amériques. Notre arrivée à la voile dans cette zone encombrée, sans autre bruit que le zéphir caressant le fisherman (vu que Choco, réveillé, ne ronfle pas, pour une fois !!!), nous vaut l’admiration de nos voisins. De toute façon le moteur était momentanément indisponible (mais ça y est c’est réparé…).



La présence des cargos se renforce, c’est bon signe : on n’a pas du trop se planter de route !!













Suite à une faiblesse chronique de la chute du gollywobbler, force nous est de mettre en œuvre une solution de rechange.







La mer et ses humeurs

Les orages grondent et les éclairs zèbrent le ciel à l’approche de la côte panaméenne. Un grain soudain et particulièrement violent (de 2 à 45 nœuds en 30 secondes) , nous a conduit à amener, de nuit, toute la toile.


Féliz cumpleanos Tomtom. Honte à ceux qui ont oublié.






Magnifiques cumulonimbus

Le temps se met à changer. De nombreux grains apparaissent à l’ horizon. Première pluie depuis presque 3 mois, on sort les shampooings. Les grains se font plus menaçants et l’euphorie du début laisse place à la vigilance.











Petite pose détente, sous le soleil équatorial, pour un capitaine surmené.



Sous les etoiles

Plus nous approchons de l’équateur et du pot au noir, plus les jours et les nuits sont calmes. Le vent est très faible et les nuages annonciateurs de vent sont aux abonnés absents.
Rien de mieux pour nos astrologues en herbe qui découvrent les constellations de l’hémisphère sud ( le scorpion, le sagittaire, le centaure, ….).



Les dauphins ...

Les dauphins nous accompagnent sur la route du Sud, On s’éloigne à 350 milles de la côte pour échapper au coup de vent et à la houle redoutables du golfe du Tehuantepec.


En voila deux qui n’ont pas assez joué à la pêche aux canards, à la fête foraine !


Belle démonstration de voltige


Une belle surprise.

Le premier jour, la ligne nous rapporte deux jolies dorades coryphènes. Mais faire des filets par 15 nœuds de vents et une jolie houle est une activité qui s’avère difficile.











Le vertige ! Connais pas.

Nous quittons donc le Mexique pour une longue navigation vers le panama. Il faut avant de partir monter dans la mature pour vérifier l’accastillage et régler les barres de flèches. C’est Malika qui s’en occupe, avec joie.